[OD] Histoire à plusieurs

Suite à un délire sur msn avec une amie, voici le nouveau jeu...

Quelqu'un commence une histoire, une autre personne continue... ainsi de suite, et on verra bien jusqu'où.
Pas de double post, bien sûr; sinon, c'est trop facile ^^
Chaque morceau de texte doit faire entre 50 et 100 mots. (en gros)
Il est imposé de mettre en gras le texte du récit, car si vous vouliez faire des commentaire, ce topic deviendrait vite un champ de bla bla illisible pour toute personne n'ayant pas pris le jeu au début ou ayant envie de relire le texte complet.
Tout propos à caractère pornographique, toute insulte est bien sur interdit... (comme sur le reste du forum)

Voila, je commence ^^

La jeune fille ouvrit les yeux et regarda sa montre. Elle soupira et replongea la tête dans ses bras. Ce qu'elle pouvait détester la géographie ! Pourquoi y avait-il des cours de géographie dans son lycée ? Elle se rendormit sur cette interrogation.
La sonnerie salvatrice la fit émerger de ses songes brumeux, et elle bondit de sa chaise, quand...

...Je continue:

son professeur la dévisagea d'un oeil noir. Elle s'aperçue alors qu'elle était la seule à s'être levée. Elle se rassit en attendant que celui-ci termine sa phrase. Au moins, il lui restait encore 5 min pour s'extasier devant son prof aux allures de mannequin. D'ailleurs, elle s'était toujours demandée pourquoi il avait eu l'idée de choisir d'être prof, quelle idée! Le prof indiqua à ses élèves qu'ils pouvaient enfin partir quand...

un boulette de papier atterrit sur sa table. Intriguée, elle la défroissa tout en avançant sa chaise pour laisser passer ses camarades empressés.

Sans symboles me voilà,
Par le sceptre des jours il te suffit
de conjurer le sort
sans quoi les coups pleuvants scelleront ton destin.

Pas trop tôt ! Des semaines qu'elle attendait la solution ! Elle était bloquée dans son jeu vidéo, et Julien lui avait promis de lui donner la réponse à l'énigme hiéroglyphique qui l'empêchait de poursuivre sa mission. Elle se retourna pour remercier Julien d'un sourire, quand...

elle s'appercut qu'il était déjà parti, tanpis!
De toute façon, elle le verrait au déjeuner.
Elle allait être en retard à son prochain cours si elle ne se dépéchait pas.
Elle prit son sac sur une épaule et s'avanca vers la porte toujours en regardant le bout de papier, mais elle s'appercut que quelqu'un lui en bouchait la sortie quand elle heurta violemment...

...une chaise qui n'avait pas été (comme toutes les autres d'ailleurs) repoussée sous le bureau. La jeune fille s'étala lamentablement sur le sol en hurlant un juron. Le professeur, qui était toujours à son bureau, soit juste en face d'elle, la fusilla du regard. En bégayant une excuse plus ou moins audible, elle se releva et s'enfuit en courant vers la salle où avait lieu son prochain cours, sans s'occuper du mystérieux gêneur qui avait disparu de l'encadrement de la porte...

- T’es pas douée… fit une voix derrière elle.

Elle se retourna et se retrouva nez à nez avec Julien.

-Ah c'est toi, merci pour le coup de main, dit-elle en lui montrant le bout de papier.
-Pas de problème, tu t'es pas fait mal? Tu es quand même assez maladroite faut dire...
-Non non, ça va. On y va?

Ils avancèrent dans le couloir en direction de la salle d'espagnol quand...

- Hola chicos !
Les adolescents se retournèrent. Leur professeur d'espagnol se trouvait juste derrière eux et les gratifiait d'un grand sourire sadique.
- B-Bonjour, monsieur.
- Dépêchez-vous d’aller en cours, les enfants, sinon, je vais être dans l’obiiiiiiigation de vous mettre une heure de colle pour retard et flirt dans les couloirs.
- Ce…
La sonnerie retentit avant que Julien ait eu le temps de finir sa phrase. Le professeur d’espagnol arriva en deux enjambées dans la salle de cours et ferma la porte au nez des deux élèves, en leur souriant.
-Trop taaaaaaaaaard !

- Pff... quel sadique, ce type ! T'avais le sourire qu'il avait ? Jusqu'aux oreilles ! On aurait dit Fye qui faisait une mauvaise blague à Kurogane...
- De quoi ?
- Hein ? Heum... qu'est-ce que j'ai dit ?
- T'as parlé de copains avec des prénoms bizarres...
- Ah bon ? Oublie... On y va ?
- On va où ? Errer dans les couloirs ?
- Non, en cours bien sûr !
Et elle frappa à la porte. Kamikaze, se dit Julien en lui lançant un regard incompréhensif.

La porte s'ouvrit en un grincement agaçant. Le professeur passa la tête par l'ouverture et gratifia les deux élèves d'un immense sourire.
- Oui ? Vous désirez ?
- Excusez-nous de notre retard, pouvons-nous entrer ?
- Quel est le motif de votre retard jeune fille?
La jeune fille se retint de lui hurler "c'est vous !", elle inspira et chercha une réponse plausible. Julien prit la parole.
- Mais Monsieur, vous...

(J'avais pas d'idée lol, mais le jeu stagnait depuis un moment, je voulais le relancer)

-...nous avez exclus de votre cours alors que...
-vous deviez arriver à l'heure, jeunes gens, le coupa le professeur. C'est de votre faute, mais bon entrez.

Et il se poussa pour laisser passer ses deux élèves. Ils entrèrent dans la salle de classe qui sentait le renfermé et s'assirent à leurs places.

-Bon, reprit le professeur, vous, dit-il en designant la jeune fille, je vous écoute, pouvez-vous me reciter votre leçon?
-heu...alors, en fait...elle tenta en vain de trouver une excuse valable

- Vous n'aviez paaaaaaas appris votre cours ! Oh mais quelle horreur ! Sortez immédiatement jeune fille !
- Mais M...
- Silence, je suis troooooop horrifiééé !
- Monsieur ! coupa une autre élève. On n'avait pas de leçon pour aujourd'hui.
- Ah oui, c'est vrai... Bien, hum, c'étaiiiiiiiit un teeeeeeeeeeeeest !

Un silence plana ensuite dans la salle, suivit d'un craquement sourd. Horrifiés les élèves se retournèrent vers la porte du fond de la classe et ils la virent. Elle était là...

Tous les regards se tournèrent vers Elle.
Avec ses lunettes rondes, ses petits yeux ridés, ses cheveux gris ramenés en un chignon serré et sa taille imposante, on comprenait pourquoi tous les élèves la craignaient tant.
Le professeur se tourna vers Elle:
-Que puis-je pour vous, Mme la Directrice?
-SILENCE! contentez vous de faire votre cours! hurla t-elle.
"toujours aussi aimable", pensa la jeune fille.
-VOUS! cria t-elle en montrant la jeune fille du doigt, DANS MON BUREAU!
-Mais pourq...

- Silence ! Je ne vous ai pas demandé de prendre la parole, mais de me suivre, petite insolente !
La jeune fille baissa la tête sous les ricanements et les gloussements de ses camarades de classe. La directrice les fusilla du regard. Aussitôt le calme revint.
- Avancez, mademoiselle.
La jeune fille s'exécuta, elle sorti de la salle de classe. Quand elle se retourna pour voir si la directrice était sortie aussi, elle ne la vit pas. La porte de la salle de cours se referma avec force et des rires diaboliques sortirent de la pièce.

La jeune fille poussa une série de jurons qui seyaient fort peu à sa condition, puis elle parcourut le long couloir en traînant des pieds. Des emmerdes, toujours des emmerdes... Elle décida d'aller à la bibliothèque achever son devoir de poésie celtique. C'étiat son cours favori, et elle voulait réussir son devoir à la maison.
Une fois arrivée dans la salle de travail, elle s'installa et ouvrit son agenda à la page du lendemain. Rédiger un sonnet aux étoiles et à la terre en s'inspirant de l'oeuvre poétique de Gylwainn, du IIe siècle avant J-C.
Elle se mit aussitôt au travail.

"Bon, alors... voyons déjà les textes de cet auteur... Où ai-je bien pu les mettre..."
Car il faut bien l'avouer, même avec toute la bonne volonté du monde, retrouver une feuille précise dans sa fameuse pochette triangle des Bermudes, c'était extrêmement difficile. Sinon, on pouvait trouver de tout... absolument de tout. Des croquis, des solutions de jeux vidéo, des cours de toutes les matières, des vieux contrôles, des mots écrits par des amies...
La jeune fille soupira et entreprit de rechercher son corpus de textes. Elle vida sa pochette sur la table.

Razz

-Alors euh...
Avant même qu'elle ait pu attraper son stylo, l'espèce de petite sonnerie bruyante et agaçante signalant qu'on venait de recevoir un texto retentit, elle attrapa rapidement son portable et ouvrit le clapet :
« Alors, ca c bien passé ac la dirlo ? »
C’était typique de Julien ça, envoyer des textos en plein cour. Que répondre ? Si elle lui disait la vérité, elle serait obligé de tout lui révéler et elle ne pouvait pas se le permettre, mais en même temps il le voyait tout de suite quand elle mentait. Elle se retrouvait dans une impasse et…

Nombre de messages : 247 Date d'inscription : 23/11/2006

…même si elle détestait l’admettre, elle devait bien une réponse à celui qui était devenu son meilleur ami. Tout en jetant des regards furtifs autour d’elle au cas où la documentaliste aurait eu la mauvaise idée d’arriver, elle tapa rapidement : « Suis à la bibli. Gylwainn me remonte le moral. »

Après quelques minutes de recherches, elle retrouva les polycopiés dont elle avait besoin et stylo en main, attendait l’inspiration. Malheureusement, c’est à ce moment que surgit…

[Juste pour dire que cette section est une excellente idée, et pour demander à Ice-kun si les références de l'héroine sont autobiographiques ^^]

[non non

]

... l'inspiration. Elle se laissa porter par sa plume, et rédigea en quelques secondes ses deux premiers vers. Puis, ces premiers jalons posés, elle se laissa un instant de répit pour peaufiner le rythme ternaire. Pas trop mal, pour une fois. Elle se remit à écrire, et, quand la sonnerie retentit, sa feuille quadrillée était remplie. De ratures, principalement, mais pas seulement. Huit, onze vers en quarante minutes. Et pas mal d'idées griffonnées dans la marge. Quarante minutes de gagnées pour buller le soir ! En attendant, débutait sa réelle heure de trou. Pestant contre la directrice, elle passa au verso et continua d'écrire.

Au bout de quelques lignes, elle s’arrêta, songeuse. « comment ça s’est passé avec la directrice ? » Mais elle n’était pas sortie de la salle de cours, cette vieille folle… La jeune fille soupira. Encore un des grands mystères de son école.

Après tout, qu’est-ce qu’elle avait à y perdre ? Un entretien avec la directrice… ce n’était pas une grande perte…

Mais si la directrice était sortie quelques minutes après elle et la cherchait à présent, elle aurait des problèmes !

Elle soupira a nouveau, se résignant à sortir de la bibliothèque quand...

(tadaaa ! le grand retour du « quand » pour terminer lol. Excusez ce délire SVP)

...
-AIE!
-désolé, heu...ça va?

Elle s'était cognée dans quelque chose de dur, qui s'était réveler être le torse d'un parfait inconnu.

-oui, ça va. Regarde où tu vas la prochaine fois!

Elle n'était vraiment pas d'humeur aujourd'hui, et elle ne souhaitait qu'une chose: qu'on la laisse tranquille. En plus, la directrice devait sûrement l'attendrequelque part. Elle s'avança en direction de la sortie, ignorant l'inconnu comme s'il s'agissait d'un porte-manteau quand celui-ci...

... se mit à hurler, en plein milieu de la bibliothèque :
- C'est toi ! TOI ! Qu'est-ce...
Et, suffoquant il s'écroula par terre. La bibliothécaire, une jeune femme sévère et sadique appela à l’infirmerie pour qu’on prenne en charge le malheureux. Une fois le téléphone raccroché, elle s’approcha de lui.
- A votre retour, vous me ferez 3h de colle, pour avoir crié dans cet espace de paix et de tranquillité !

Le malheureux ne protesta même pas.
L'infirmière, une petite femme blonde aux cheveux courts arriva et aida le jeune homme à se relever et l'emmena en direction de l'infirmerie.

-C'est toi qui...qui...je sais que c'est toi!! dit celui-ci d'une voix nerveuse et tendue.

-Hein? répliqua la jeune fille. On ne se connait même pas!

-Mademoiselle, dit la bibliothécaire, vous viendrez également en colle pour avoir provoquer les angoisses de monsieur.

Tout le monde savait qu'elle avait toujours été aussi injuste, mais là, c'était vraiment trop!

La jeune fille allait protester quand une annonce résonna dans les haut-parleurs. Elle était convoquée dans le bureau de la directrice. Elle se dirigea donc en dehors de la bibliothèque, en marmonnant un « bien, madame, excusez-moi » puis elle partit en courant.

Elle arriva devant le bureau de la directrice, frappa et ouvrit la porte. Ce qu’elle vit la pétrifia.

Elle se figea instantanément, tremblant presque. Dans le bureau de la directrice se tenait celle-ci, et sur l'une des chaises se trouvait..."oh non!" se dit la jeune fille.
Elle savait pourquoi il était là. Et si il avait tout raconté à la directrice? Non, pensa t-elle, c'est impossible voyons! Il n'aurait pas fait ça. Mais pourqoui donc était-il là?
Elle s'aperçue qu'elle s'angoissait de plus en plus. La directrice et lui la regardèrent d'un air grave, puis elle ordonna à la jeune fille de rentrer dans son bureau. Elle allait avoir des problèmes...

Mais, avant qu'elle puisse entrer, un violent coup de vent fit claquer la porte au nez de la jeune fille. Elle allait tourner à nouveau la poignée quand elle se dit qu'après tout, c'était peut-être un signe... un signe de Gylwainn, peut-être !
Sans demander son reste, elle rejoint le CDI, où elle s'installa devant un ordinateur et cliqua sur l'icône "Internet Explorer".

Peu de temps après son arrivée dans cette salle -supposée- de travail, la jeune fille se sentit observée. En effet, toutes les têtes étaient tournées vers elle. Gênée, elle baissa les yeux et se replongea dans ses recherches. Elle voulait une explication, elle l'aurait !
Mais c’était sans compter l’intervention de la sadique de bibliothécaire, qui, revenant du fond de la réserve, aperçut la jeune fille. Elle s’approcha d’elle, un rictus mauvais sur le visage.

Mais avant que celle-ci ne puisse dire quoi que ce soit, la sonnerie retentit. Sauvée, pensa la jeune fille. Elle rangea ses affaires, prit son sac et sortit rapidement de la salle avant que la bibliothécaire ne puisse lui reprocher quoi que ce soit.

Elle avançait dans le couloir en pensant que cette journée étrange prendrait fin dès qu'elle serait chez elle, quand elle entendit la voix de la directrice derrière elle:

"mademoiselle, venez tout de suite dans mon bureau, moi ainsi qu'une autre personne aimerions vous parler".

La jeune fille soupira. La chance d'être sauvée par une intervention miraculeuse (porte qui se ferme, sonnerie...) ne lui sourirait pas cette fois.
Elle déglutit difficilement et parcourut les trois pas qui la séparait de la directrice.
- Dépêchez-vous, mademoiselle ! Et ne soupirez pas !
- O-oui, Madame.
Son sac sur l'épaule, elle suivit donc d'un pas mal assuré la directrice, jusqu'à son bureau... et surtout, surtout, jusqu'à Lui.

Et dire que j'avais la chance de pouvoir partir, se dit-elle, je ne vais pas y échapper cette fois-ci! Pourvu qu'il ne m'attire pas trop d'ennuis, j'en ai déjà assez comme ça...Bon alors, ne pas trembler, ne pas montrer que je suis morte de peur, ne pas...
mais elle fut obligée d'arrêter sa liste car la directrice avait ouvert la porte de son bureau.
"Entrez", dit-elle

Prises de sueurs froides, la jeune fille ne pensait pas ses jambes capables de la porter jusqu'au siège devant le bureau... à côté de l'homme.
"Ne pas trembler" pensa-t-elle "oui, comment faire ?!"
- Entrez, je vous ai dit !
- O-Oui...
Elle inspira et franchit la porte.
- Asseyez-vous.
Plus que de s'assoire, elle se laissa tomber dans le siège et se tourna vers l'homme qui ne l'avait pas quitté du regard.

Elle tremblait et avait perdu tout son sang froid.
Elle le regarda, s'enfonçant un peu plus dans le fauteuil. Oui, pas de doute, c'était bien lui. Il avait de larges épaules, des cheveux châtains mi-longs et de grands yeux verts. Il la regardait avec un calme et un sang-froid extraordinaires, surtout selon les circonstances!
"Bon, dit la directrice. Nous n'allons pas y passer la journée, j'ai d'autres choses à faire...Mlle, je suppose que vous connaissez la raison de votre présence ici?" La jeune fille nota que le ton était presque ironique.
Mais avant qu'elle ne puisse répondre, l'homme prit la parole et dit à la directrice:
"

- Laissez, madame, je voudrais m'occuper de son cas, moi-même.
La jeune fille déglutit et regarda l'homme.
- Comment justifies-tu ta conduite ?! hurla-t-il presque.
- Je...
- LAISSE MOI FINIR !
La directreice prit la parole.
- Calmez-vous, je vous en prie. Ne criez pas dans mon bureau...
- Désolé.
Il se tourna vers la jeune fille et reprit :
- Alors ?
- Je...

Ice, Kei, Chibi Shi ? Pourquoi vous participez pluuuuuuus ?

-Je ne pensais pas que...
-NE TE FOUS PAS DE MOI! hurla t-il. Puis il reprit plus calmement:
-rien, absolument rien ne justifie ce que tu as fait. Pourquoi, mais pourqoui donc as-tu fais cela? Je sais que je ne suis pas ton père, et que je n'ai aucun droit d'autorité sur toi, mais tu aurais vraiment du m'écouter...
-Attendez une minute! l'interompit la directrice, vous vous êtes présenté à mon bureau comme le père de cette jeune fille...
-Heinn? dit celle-ci, interloquée. Mais ce n'est pas DU TOUT mon père!
-évidemment, reprit l'homme, je suis d'ailleurs surprit que vous m'ayez cru, je ne suis pas si vieux quand même, c'est vexant!
-mais...mais alors, qui êtes vous? demanda la directrice.
L'homme sourit en regardant la directrice:
-vous ne voyez toujours pas? Il semblait amusé.

-vous...vous...êtes son...
-Non mais attendez!! Qu'est ce que vous allez vous imaginer? Ce n'est pas du tout ce que vous croyez...enfin pas exactement. Et sans vouloir vous manquer de respect cela ne vous regarde pas et...je ne pense pas que votre bureau soit le meilleur endroit pour en parler.
La jeune fille s'arrêta, le temps de reprendre un souffle qui commençait à lui manquer. Elle n'avait plus qu'à prier pour qu'il n'intervienne pas après cette petite tirade qui allait lui attirer assez d'ennuis comme cela, mais bien entendu...

- Pourquoi son bureau ne serait pas le meilleur endroit ?
La directrice palit, et manqua de s'évanouir lorque le jeune homme passa son bras autour de la taille de la jeune fille. Cette dernière rougit violemment et repoussa le garçon qui éclata de rire en s'appuyant sur le bureau de la directrice.
- CE N'EST PAS CE QUE VOUS CROYEZ MADAME ! hurla la jeune fille, écarlate.

A vous ! Qui est donc ce mystérieux jeune homme ? Aura-t-on la réponse au prochain post ? Ou un(e) pro de l'esquive va encore passer par la ? Qui dévoilera l'indentité de ce garçon ? A vous la parole !

Kei, Ice ? vous ne participez pluus ??

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